« Quand on parle de marcheur, ça ne veut pas nécessairement dire que le technicien médical va marcher, ça veut surtout dire qu’il va sortir, faire des patrouilles.
« J’aimais ça parce qu’on luttait, en gang, contre la chaleur, l’adversité, la fatigue, ça fait qu’il se développait un esprit d’équipe dans l’action. On marchait toute la journée, on mangeait presque pas, on buvait l’eau qu’on était capable de porter… Je le referais demain matin !

« Si un Afghan, un gars de l’ANA ou un civil travaillant pour nous, se faisait attaquer, les gars me l’amenaient et je le traitais. Ma job, c’est de les traiter, de les maintenir en vie et de les faire évacuer.
Extraits de 5 balles dans la tête.
En librairie dès le 1er novembre 2017